Réflexion sur les motifs de l'utopie et de la dystopie
chez Benjamin et Adorno, à partir des figures
de Fourier, Baudelaire et Huxley
Compte-rendu de la séance avec Agnès Grivaux
Si la dystopie, et son pendant qu’est l’utopie, doivent pouvoir
être envisagés comme des outils ou des espaces de la critique, il
est nécessaire de les envisager comme régimes de la
critique, c’est-à-dire comme modalité discursive particulière
permettant de tenir un propos critique, notamment sur la ville et la
modernité urbaine. C’est donc dans cette visée que nous avons
accueilli, pour la dixième séance du séminaire, la philosophe
Agnès Grivaux, ATER à l’Université de Nantes et rédactrice
d’une thèse sur les apports de la psychanalyse dans la Théorie
Critique.