Résumé :
1)
De l’utopie à la dystopie : vers une notion politique
- l’utopie et la dystopie dans leur contexte historique : l’utopie comme point de départ ; les dystopies comme réponse historiquement située ; les différentes lectures de l’anti-utopisme naissant
- le glissement dystopique : l’utopie et la dystopie comme deux faces d’une même pièce ; le passage du descriptif au narratif, et du collectif à l’individuel ; les problèmes de terminologie et de définition
- la dimension politique de la dystopie : les enjeux éco-politiques ; le cas des éco-fictions ; l’usage de la dystopie comme notion
2)
De la dystopie à l’urbanisme : théorie du pouvoir et usages de la
ville
- à l’origine de la dystopie, l’utopie comme discours instaurateur de l’urbanisme : l’utopie comme modèle ; la modélisation critique de l’espace ; vers des technologies du pouvoir dans le traitement de l’espace
- le réel urbain comme dystopique : la dystopie comme lieu privilégié de la critique du pouvoir ; réduction, rigidité et totalisation de la ville pensée et conçue par l’urbanisme
- la dystopie comme critique : le paradoxe de la critique totalisante ; les différentes pistes de réponse ; les pratiques urbaines et l’analyse du comportement
Le
but de ces deux premières étapes était de mettre en évidence, à
titre de proposition, trois niveaux de la dystopie, afin de faire de
celle-ci un usage politique tout en résolvant le paradoxe de la
critique totalisante. Nous sommes ainsi parvenu-e-s à ces trois
pistes :
3)
Les trois pistes des dystopies urbaines, de Los Angeles à Auroville
- LA : l’analyse de Mike Davis
- Auroville : de l’utopie réalisée au laboratoire
-
Bonjour, l'enregistrement n'est plus disponible sur We transfer, serait-il possible de le réactualiser ? il a été "supprimé et n'est plus disponible". Merci d'avance !
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